mardi 20 juillet 2010

Limp Bizkit - Chocolate starfish and the hot dog flavored water



Bon, je vais être clair avec vous : Limp Bizkit, j’avais de sérieux préjugés concernant la musique de ce groupe. Ce Chocolate starfish and hot dog flavored water ne fait que confirmer ce que je pensais déjà. Ce groupe fait du metal pour amateur de rap. De la merde en branches, quoi. Et encore, de la merde naissent parfois les plus belles fleurs.

Fred Durst est la honte du metal et de la musique en général. Si le renouveau du style doit passer par lui, comme l’indiquent certains média, eh bien je préférerais ne plus en écouter. Je ne vais pas taper plus sur lui, des gens pourraient avoir pitié alors que ce qu’il mérite, c’est de retomber dans l’anonymat le plus complet.

Je n’ai jamais été un grand fan de neo-metal, mais au moins, je retrouve plus de qualités dans des albums de Korn, System of a down ou Deftones. Là, pas grand-chose à sauver. Le seul pas trop ridicule dans cette histoire, c’est le guitariste Wes Borland, qui est loin d’être dénué de talent avec un manche de guitare.

Je crois que là, on a touché le fond. Il n’y avait rien à attendre de ce groupe hautement surestimé et le résultat ne me surprend guère.

En cette période où les deniers publics sont hautement surveillés, il est de mon devoir de citoyen de signaler que cette galette est nulle et ne sert à rien.

Quand le metal sert de prétexte au rap, ça donne ce genre de disques. Néfaste.

Chronique destructrice, défouloir? Oui, j'assume.

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